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ca. 1690

Charles Cotolendi, Saint-Evremoniana

Paris, Brunet, 1700

Comédiens et critiques corrigent les moeurs

Au sein du chapitre "La correction" des Saint-Evremoniana, on trouve la réflexion suivante.

Le comédien, le critique et celui qui reprend ont tous une même fin, où ils vont par des chemins différents. Le comédien attaque les défauts en général, en les rendant ridicules, le critique descend à ceux des particuliers et celui qui corrige instruit secrètement celui qu’il veut rendre parfait. Le comédien plaisante, le critique aigrit, et le dernier ne doit être animé que de l’esprit de la charité. Si cela est, où est la personne capable de reprendre les autres ?

Ana disponible sur Google Books.


Pour indiquer la provenance des citations : accompagner la référence de l’ouvrage cité de la mention « site Naissance de la critique dramatique »