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1679

[Anonyme], Le Roman comique, troisième partie

Paris, Barbin, 1679

Des avantages financiers de la farce sur la comédie

Un opérateur et sa femme, amis de la troupe, s'en séparent pour raisons financières.

Après le déjeuner, Inezille témoigna à tous ceux de la troupe, et principalement aux demoiselles, le déplaisir qu’elle et son mari avaient d’un si prompt départ, leur protestant qu’ils eussent bien désiré de les suivre à Alençon pour avoir l’honneur de leur conversation plus longtemps, mais qu’ils seraient obligés de monter en théâtre pour débiter leurs drogues et par conséquent faire des farces ; que, cela étant public et ne coûtant rien, le monde y va plus facilement qu’à la comédie, où il faut bailler de l’argent, et qu’ainsi, au lieu de les servir, ils leur pourraient nuire et que, pour l’éviter, ils avaient résolu de monter au Mans après leur départ.

Edition de 1857 disponible sur Gallica.


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