Mais pensez-vous, Monsieur, en être quitte pour vos Remarques sur l’Iphigénie de M. Racine ? J’en attends de nouvelles sur celle de M. Coras, qui a paru depuis deux jours. Je vous avoue que je vous suis obligé du plaisir que j’ai pris la représentation de la dernière, parce que je voyais en même temps ce qui se passait sur le théâtre, ce que M. Racine a fait dans la sienne, et ce que vous y avez remarqué. Je conférais ces deux tragédies, et je m’applaudissais de savoir quelque chose de plus particulier sur cette matière que le reste des spectateurs.