Je ne sais pas où il [du Lion] prenait le fond de toute la dépense qu’il faisait, mais il en avait toujours de reste pour de petits festins qu’il aimait extrêmement, pour la paume et pour la comédie où il nous menait quelques fois lorsque cette fameuse comédienne appelée La Porte montait encore sur le théâtre et qu’elle se faisait admirer de tout le monde avec Valeran et que Perrine et Gautier étaient des originaux qu’on n’a jamais depuis su imiter. Mais je me tins bien plus redevable à notre ami des bonnes connaissances de dehors qu’il me procura, comme celle de M. Balesdens qui demeurait alors au collège d’Harcourt chez un bon homme appelé le Landez […].